Avant de partir visiter la ville, nous faisons une pause régénérative dans un café hippie-bio, et nous testons le jus d’Aloé, une plante grasse. Le goût est assez étrange…
La cathédrale de Pavia est malheureusement fermée pour travaux, nous n’en verrons que son dôme (le troisième plus grand d’Italie après celui de Saint-Pierre à Rome et celui de la cathédrale de Florence) depuis la place principale de la ville, la Piazza Vittoria, bordées d’arcades abritant cafés et glaciers.
L’université de Pavia fût fondée en 1361, ce qui en fait une des plus vieilles d’Europe. Les cendres de Christophe Colomb, qui y étudia, sont conservées dans la bibliothèque. Les bâtiments de l’université s’organisent autour de 5 belles cours à arcades du XVIIe-XVIIIe siècle. Pas trop mal comme cadre pour étudier!
Près de l’université se dressent encore quelques tours médiévales. Chaque tour symbolisait la puissance d’une famille de notables, le but étant de construire une tour plus haute que son voisin…
Faute de temps, nous renonçons à la visite de la Chartreuse de Pavie, à quelques kilomètres de la ville. Nous décidons de fuir la chaleur de la plaine du Pô qui rend difficile notre progression à vélo et me fatigue beaucoup (30 degrés dès 10 heures du matin, 35 degrés de 11 heures à 19 heures…). Rizières et moustiques adieu, place aux Apennins et à ses forêts!
